Qui suis-je ?
Je découvre les arts céramiques en 2003, dans les cours du soir de la ville de Clermont- Ferrand. A partir de 2006, je me forme notamment aux cuissons rapides avec Jean-François Delorme et Brigitte Marionneau et à la recherche d’émaux haute température avec Alain Valtat. J’apprends le tournage pendant 6 mois auprès de Gilles Bouyer.
En 2019, ma candidature à l’Institut Européen des Arts Céramiques (IEAC) de Guebwiller est acceptée. Après 12 mois de formation, j’obtiens en août 2020 le diplôme de créatrice en arts céramiques.
Je suis désormais installée à Saint Rémy de Blot, en Auvergne.
Je m’inspire et m’émerveille de mon environnement proche : paysages, roches, lichens.
Je suis fascinée par l’émail, par la cuisson qui fige en quelques heures ce que la nature a mis des centaines de milliers d’années à élaborer. Par la cuisson de haute température, je rejoue un métamorphisme imaginaire avec les terres et les éléments minéraux que je collecte. Le temps long de la géologie, de la terre, des minéraux fait écho en moi à celui du temps long de la création céramique.
Je fabrique moi-même les émaux que j’utilise. A partir d’une recette de base, j’ajoute des oxydes ou d’autres matériaux selon un protocole très précis, pour obtenir les textures ou les couleurs que je recherche. J’aime la rigueur et la précision que ce travail demande.
Mais je fais aussi en sorte que des imprévus bousculent cette routine : j’intègre à mes recettes des éléments qui ne devraient pas y figurer (roches, coquillages, métaux, béton, etc.). Je mets trop de ceci ou pas assez de cela, pour que les émaux coulent, se retirent, craquellent, débordent. Certes il y a parfois des déceptions, mais quelle joie quand la surprise est bonne !
Scientifique de formation, je me passionne pour tout ce que fait l’Homme pour décrire et classifier le monde qu’il habite, que celui-ci soit organique ou inorganique, et notamment l’imagerie scientifique du XVIIIème siècle à nos jours.
Je découvre les arts céramiques en 2003, dans les cours du soir de la ville de Clermont- Ferrand. A partir de 2006, je me forme notamment aux cuissons rapides avec Jean-François Delorme et Brigitte Marionneau et à la recherche d’émaux haute température avec Alain Valtat. J’apprends le tournage pendant 6 mois auprès de Gilles Bouyer.
En 2019, ma candidature à l’Institut Européen des Arts Céramiques (IEAC) de Guebwiller est acceptée. Après 12 mois de formation, j’obtiens en août 2020 le diplôme de créatrice en arts céramiques.
Je suis désormais installée à Saint Rémy de Blot, en Auvergne.
Je m’inspire et m’émerveille de mon environnement proche : paysages, roches, lichens.
Je suis fascinée par l’émail, par la cuisson qui fige en quelques heures ce que la nature a mis des centaines de milliers d’années à élaborer. Par la cuisson de haute température, je rejoue un métamorphisme imaginaire avec les terres et les éléments minéraux que je collecte. Le temps long de la géologie, de la terre, des minéraux fait écho en moi à celui du temps long de la création céramique.
Je fabrique moi-même presque tous les émaux que j’utilise. A partir d’une recette de base, j’ajoute des oxydes ou d’autres matériaux selon un protocole très précis, pour obtenir les textures ou les couleurs que je recherche. J’aime la rigueur et la précision que ce travail demande.
Mais je fais aussi en sorte que des imprévus bousculent cette routine : j’intègre à mes recettes des éléments qui ne devraient pas y figurer (roches, coquillages, métaux, béton, etc.). Je mets trop de ceci ou pas assez de cela, pour que les émaux coulent, se retirent, craquellent, débordent. Certes il y a parfois des déceptions, mais quelle joie quand la surprise est bonne !